Les recettes brutes ajustées des paris sportifs dans le Maine ont atteint un nouveau sommet mensuel de 5,5 millions de dollars (4,4 millions de livres sterling/5,1 millions d’euros) en janvier malgré une baisse des dépenses des joueurs.
Le montant total pour janvier dans le Maine était de 38,1 millions de dollars. Cela représente une hausse de 13,4 % par rapport aux 44,0 millions de dollars de décembre, mais de 1,3 % par rapport aux 37,6 millions de dollars de novembre, premier mois de paris légaux.
Quant aux recettes brutes ajustées, le total de janvier était de 25,0%, en avance sur les 4,4 millions de dollars de décembre. Il a également dépassé de 19,6 % les 4,6 millions de dollars générés au cours du premier mois.
Les recettes brutes ajustées des paris sportifs tiennent compte des paris annulés et annulés, des gains des joueurs et d’une taxe d’accise fédérale de 0,25 %.
En termes de total des autres impôts dus à l’État, cela s’élevait à 546 099 dollars en janvier. Le Maine impose une taxe sur les paris sportifs de 10,0 % des recettes brutes ajustées.
DraftKings en tête dans la course à deux chevaux du Maine
Le Maine ne compte actuellement que deux opérateurs agréés proposant des paris sportifs : DraftKings et Caesars. Tous deux ont mis en place des partenariats tribaux, conformément au projet de loi LD 585, signé par la gouverneure Janet Mills en mai 2022.
DraftKings opère dans le Maine via un partenariat avec la tribu Passamaquoddy. En janvier, ce partenariat a généré 4,7 millions de dollars de recettes brutes ajustées contre 32,1 millions de dollars, représentant une part importante du marché.
Le seul autre opérateur agréé dans le Maine est Caesars, qui est en partenariat avec trois des nations Wabanaki. Il s’agit notamment de la bande Houlton d’Indiens Malécites, de la nation Mi’kmaq et de la nation Penobscot.
En janvier, le partenariat Caesars a déclaré 743 762 $ de recettes brutes ajustées. Il s’agissait d’un total de paris mensuels de 6,1 millions de dollars.
Les législateurs proposent des projets de loi pour des droits de jeu tribaux exclusifs
Par ailleurs, le mois dernier, il a été annoncé que les législateurs du Maine discuteraient de propositions visant à permettre aux tribus d’avoir des droits exclusifs sur les jeux sur Internet.
Ceux qui soutiennent ces propositions espéraient suivre une voie similaire à celle des paris sportifs.
Le projet de loi sur les sports signé par Mills autorise les paris sportifs au détail et en ligne, mais les paris sportifs sur Internet ne peuvent être gérés que par des tribus approuvées. Ces tribus peuvent demander une licence pour exploiter des paris en ligne et également s’associer chacune à un opérateur en ligne.